Quoi demander de plus?

En cette fin d'aventure de la 12e édition des Jeux canadiens de la communication, l'heure est au bilan:

- Des chants de marde;
- La tempête du siècle;
- La fougue de l'UdeS;
- Un costume de délé crissement hot;
- Des partys de fous;
- Une délé tissée serrée;
- Des conversations douteuses;
- Une fierté inébranlable.

Nous sommes lundi matin. Je m'ennuie déjà de la délégation de Sherbrooke. J'ai l'impression que la Terre s'est arrêtée de tourné pendant ses 4 jours (en fait, 5, à cause de la tempête). Nous étions complètement plongé dans un tout autre monde. Un monde caractérisé d'amour, de soutien, de fous rires et de fatigue, car bien évidemment nous étions nous d-é-f-o-n-c-é! Tout le monde a su mettre de côté sa hargne pour faire place à la patience!

Je tiens à vous dire, chers membres de la délégation, que je ne pensais pas vivre quelque chose d'aussi fort lors des JDLC. Vous m'avez fait rire, vous m'avez fait pleuré (ô que oui!), mais surtout, vous m'avez fait confiance! J'ai peine à retenir mes larmes (encore une fois), en écrivant ces quelques lignes. Nous devons tous retourné à nos vies indivuduelles, mais sachez que je ne vous oublis pas. De toute façon comment le pourrais-je en ayant toujours en tête: mange-moi le cul (3x), chie-moi sul torse (3x), manque-moi de respect (3x).

Pam, en spleen post-Jeux